DECRYPTAGE. "Ecocide", "catastrophe environnementale", "prochaine mer d’Aral", autant d'expressions qui reviennent ces dernières années dans les discussions sur la mer Caspienne. Au centre d’une inquiétude écologique dans la région, la mer intérieure voit son niveau baisser d’année en année. Réchauffement climatique d’un côté, activités humaines dévastatrices de l’autre, rien n’est pourtant concrètement fait pour la sauvegarder.
Le Kazakhstan et le Turkménistan font partie des cinq pays qui bordent la mer Caspienne, et pourraient payer cher les conséquences de son assèchement. Décryptage sur la situation d’une mer intérieure qui pourrait bientôt ne plus être.
Le 7 juin dernier, les autorités de la ville kazakhe d’Aktaou, située au bord de la mer Caspienne, ont déclaré l’état d'urgence écologique à l'échelle locale . . .
Vous avez encore 80 % de cet article à découvrir! Abonnez-vous maintenant pour seulement 3€ par mois
S’abonnerDéjà abonné ? Se connecter
En vous abonnant à Novastan, vous soutenez le seul média européen spécialisé sur l'Asie centrale. Nous sommes indépendants et pour le rester, nous avons besoin de votre aide ! Grâce à vos abonnements, nous pouvons rémunérer nos correspondants en Asie centrale.