Active depuis 1993, l’entreprise de construction française a pu livrer plusieurs projets d’importance au Turkménistan malgré le Covid-19. Le Sénat, un hôtel flambant neuf ou encore des centres des Congrès ont été inaugurés en un peu moins de deux mois. En septembre, Bouygues a terminé la construction d’une tribune présidentielle monumentale et s’est vu confier de nouveaux chantiers.Envers et contre tous, la relation qui unit Bouygues au Turkménistan semble entretenue continuellement par le président Gourbangouly Berdimouhamedov, qui n’est pas avare de contrats pour conserver la plus grande entreprise française dans le pays. En contrepartie, Martin Bouygues lui-même s’est déplacé dans le pays le plus fermé d’Asie centrale, en toute discrétion. Retour sur une histoire qui dure.Au Turkménistan, c’est un acteur qui compte. En France, le pays n’existe pas. A première vue, la relation entre le Turkménistan et Bouygues Construction paraît peu importante. Le pays d’Asie centrale est le plus fermé de la région, tandis que l’entreprise française ne mentionne jamais le Turkménistan dans ses rapports financiers publics.
Vous avez encore 80 % de cet article à découvrir! Abonnez-vous maintenant pour seulement 3€ par mois
S’abonnerDéjà abonné ? Se connecter
En vous abonnant à Novastan, vous soutenez le seul média européen spécialisé sur l'Asie centrale. Nous sommes indépendants et pour le rester, nous avons besoin de votre aide ! Grâce à vos abonnements, nous pouvons rémunérer nos correspondants en Asie centrale.