Accueil      Les sapins du Nouvel an au Kirghizstan et au Tadjikistan : entre discorde et nationalisme

Les sapins du Nouvel an au Kirghizstan et au Tadjikistan : entre discorde et nationalisme

La fête du Nouvel an en Asie centrale, héritage de l’époque soviétique, continue d’être une des fêtes les plus populaires de l’année. Nationalisme et religion s’en mêlent parfois, comme l’illustre les débats autour des sapins décorés érigés sur les places publiques des villes et villages au Tadjikistan et au Kirghizstan. Comme le rapporte le service kirghiz de RFE/RL, Azzatyk, le sapin de la ville de Kadamjaï, située dans le sud du Kirghizstan, a été vandalisé, coupé et retrouvé dans un ruisseau le 27 décembre dernier. Dans la ville voisine d’Uzgen, sur la route d’Och, cela fait déjà trois ans que la municipalité n’installe pas de sapin sur la place centrale. La raison ? Le maire de la ville, Attokur Tajibaev, explique que « cette fête a été imposée » aux Kirghiz.

Le président kirghiz, Almazbek Atambaïev (à gauche) lors d'un concert organisé pour le Nouvel an à Bichkek. A droite, le "Père Noël" de l'ex-URSS, Died Maroz et sa petite fille, Snegourotchka.

La fête du Nouvel an en Asie centrale, héritage de l’époque soviétique, continue d’être une des fêtes les plus populaires de l’année. Nationalisme et religion s’en mêlent parfois, comme l’illustre les débats autour des sapins décorés érigés sur les places publiques des villes et villages au Tadjikistan et au Kirghizstan.

Comme le rapporte le service kirghiz de RFE/RL, Azzatyk, le sapin de la ville de Kadamjaï

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