Animal central de la culture traditionnelle kirghize, le cheval dans la période pré-soviétique déterminait le statut social de celui qui le possédait. Aujourd’hui, toujours présent dans la société, il est l’icône de valeurs culturelles et économiques tandis que sa valeur marchande attise les convoitises dans une situation économique tendue.
Ce texte est issu d'un récit de voyage, modifié par la rédaction de Novastan.
Un matin d’octobre, Khassan . . .
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Guillerm Yann, 2019-04-28
Bonjour,
Il serait bien de vérifier vos informations avant d’éditer, les traductions sont fausses, un jailoo n’est pas un lieu de transhumance mais un pâturage d’altitude estival (au moins 2 mois sur place, 3 a 4 selon les régions), les prix des chevaux sont faux, (ils sont pratiquement tous entre 650 et 1000€, sauf rares exceptions et chevaux de race avec papiers, mais dans ce cas cela monte loins au dessus de 5-6000€), le Keuk Boru n’est pas une course et on y joue pas avec des pur sangs… Je suis propriétaire de plus de 50 chevaux et vis depuis 20 ans en Kirghizie, je peux vous garantir ces informations.
Cordialement,
Yann Guillerm
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Etienne Combier, 2019-04-29
Bonjour Yann,
Cet article n’est pas une traduction mais un témoignage, ce qui explique les approximations. Je vais modifier pour les jaïloo et le Kok-Boru.
Bonne continuation !
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HAMY Année, 2019-09-15
Bonjour – Bon article. Saviez-vous que le vol de chevaux est aussi un problème en France et même un peu partout. Voici un site d’alerte http://www.soschevaux.com – Si le siège de l’association est en France (Calais 62) – La base de données des animaux est internationale;
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