Nursultan, 25 ans, travaille à 3600 mètres d’altitude sur un glacier qui menace la capitale du Kirghizstan. Dans une interview pour Novastan, il raconte son quotidien et le changement climatique dont il est témoin.
Recouvert à plus de 90% de montagnes, le Kirghizstan regorge aussi de glaciers, source de son eau et de son électricité. Mais avec le réchauffement climatique qui s'accélère, ceux-ci menacent de fondre et de provoquer non seulement un manque d'eau, mais aussi de possibles catastrophes naturelles. Déjà un tiers de son volume glacier aurait disparu depuis le début du XXIème siècle, selon un rapport de l'Asian Development Bank.
Pour y remédier, le gouvernement kirghiz construit peu à peu des réserves naturelles et des stations météorologiques afin d'observer les changements de sa géographies, et de prévenir d'éventuels désastres. Novastan a rencontré Nursultan, qui travaille sur un des glaciers qui surplombe la capitale Bichkek depuis plus de huit ans.
En quoi . . .
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