Dans son dernier film, Aktan Arym Kubat illustre la liberté dans son pays natal, le Kirghizstan. Tout en pointant ce qu’il identifie comme un problème d’identité. Novastan a pu rencontrer le réalisateur à Paris.
Montrer la petite histoire pour critiquer un contexte plus large. C’est le parti pris d’Aktan Arym Kubat, le réalisateur de « Centaure ». Pour son quatrième film, le réalisateur kirghiz est parti de lui et de son enfance. Réalisé en 2016 mais arrivé dans les salles françaises le 31 janvier dernier, « Centaure » raconte l’histoire d’un homme dans un village kirghiz.
L’homme, un éternel poète, est ouvrier dans le bâtiment. Sa tare : être un voleur intempestif de chevaux, qu’il chevauche . . .
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combier liliane, 2018-03-3
Ton article donne envie de voir ce film !!!
Vive la familia !!!
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