Du 3 au 5 juillet dernier, Astana accueillait pour la cinquième fois les puissances internationales pour tenter de résoudre le conflit syrien. Malgré les assurances du gouvernement kazakh, la situation n’a pas été clarifiée par les discussions.
La paix en Syrie n’a toujours pas été décidée à Astana. Pour le cinquième tour des pourparlers dans la capitale kazakhe du 3 au 5 juillet dernier, les représentants de la Russie, de la Turquie et de l’Iran se sont réunis pour tenter d’établir les zones de désescalade en Syrie. Une délégation de 9 personnes de l'opposition armée syrienne était également présente, dirigée par le général de brigade Ahmad al-Bari.
En mai dernier, pendant le quatrième tour des pourparlers, les représentants se sont mis d’accord pour établir des zones dites de désescalade dans lesquelles il y aurait un arrêt des hostilités entre les groupes rebelles et les forces de Bashar al-Assad. Ni le gouvernement syrien, ni les groupes rebelles n'ont signé le plan. Aussi, cette cinquième session de discussion devait créer dans les faits ces quatre zones de d . . .
Vous avez encore 80 % de cet article à découvrir! Abonnez-vous maintenant pour seulement 3€ par mois
S’abonnerDéjà abonné ? Se connecter
En vous abonnant à Novastan, vous soutenez le seul média européen spécialisé sur l'Asie centrale. Nous sommes indépendants et pour le rester, nous avons besoin de votre aide ! Grâce à vos abonnements, nous pouvons rémunérer nos correspondants en Asie centrale.