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Le Tadjikistan classé parmi les pays où les routes sont les plus lentes au monde

Le Fond monétaire international a publié son classement des routes les plus rapides du monde. Le Tadjikistan est parmi les derniers. Le Fond monétaire international (FMI) a publié un classement des pays où les routes sont les plus rapides du monde. Le Tadjikistan, à 52 kilomètres par heure (km/h) en vitesse moyenne, est derrière ses voisins post-soviétiques allant de 79 km/h pour le Turkménistan à 61 km/h pour le Kirghizstan.

Rédigé par :

cduverdier Emma Jerome 

Anzob Autoroute Tadjikistan
L'autoroute à Anzob au Tadjikistan.

Le Fond monétaire international a publié son classement des routes les plus rapides du monde. Le Tadjikistan est parmi les derniers. Le Fond monétaire international (FMI) a publié un classement des pays où les routes sont les plus rapides du monde. Le Tadjikistan, à 52 kilomètres par heure (km/h) en vitesse moyenne, est derrière ses voisins post-soviétiques allant de 79 km/h pour le Turkménistan à 61 km/h pour le Kirghizstan.

Des causes liées à la pauvreté et à la géographie

Le média tadjik Asia-Plus ajoute qu’il y a un lien entre pauvreté et rapidité sur les routes. Les routes rapides permettent une croissance économique plus soutenue, mais des fonds importants sont nécessaires pour les entretenir.

A l’inverse, une route plus lente y fera obstacle. Selon l’article, les routes lentes font partie des caractéristiques des pays pauvres. En effet, le faible produit intérieur brut (PIB) du Tadjikistan, de 825 dollars par habitant et par an (806,7 euros), le classe parmi les pays en développement.

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Il est à noter que les routes tadjikes sont régulièrement menacées par des coulées de boues, des chutes de pierres ou par des glissements de terrain, comme le signale Asia-Plus. Un autre article du même média explique que ces menaces endommagent les maisons, les infrastructures et les routes. Par conséquent, des équipes et du matériel sont envoyés sur les lieux pour faire face à la catastrophe. Ces phénomènes empêchent le développement du pays et poussent les Tadjiks à rouler plus doucement.

Claire du Verdier Rédactrice pour Novastan

Relu par Emma Jerome

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